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    Est-ce, sont-ce, se démener, les gestes. Attente du réassort, vers l’eau. Ne vaut, ne valent, ébouriffé, rien la lutte, la lutte est jouée, dramatique, d’autres nerfs…. qu’à chaque fois le rebond d’un échec perpétuel ne surprend guère. Des listes de choses à faire, nœuds de pluie, sont-ce, ne valent,  d’entiers wagons vides, ne vaut, ne valent, rarement un regard, est-ce qu’ils me font aux mots plus qu’un secret dit , au miroir face auquel je me lave, les dents nues, l’architecture qu’il faut pour s’amener le projet, la fougue à rué , ruée pour  rabattre, allusive les fers dans le béton, erre la poussière sur les émaux, qu’un jour alors que je n’y pense plus, grotesque, m’emballer pour un corps, le vouloir, et l’intelligence tête bêche , voudrais léger par moineaux emmener  hauts mes litiges au lieu grec et nocturne de l’entier. Sont-ce des verres faux ce genre d’écran devant voir, torpeurs corrodées des salins, le vide que je suis au sortir d’une réunion, je sais que je passe, est-ce, sont-ce, valent, vaut, je sais que je passe, peux passer comme et pour, des barils en douce et des poulies entre elles leur micmac, radon rare, alphabets….le point de la reconquête sourde, ce qu’amenaient les courants, un jus mauve dans un recoin du port, le Grévisse des fatigues.

     


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