• [...Margelle , à peine un cul, la silhouette du douanier occulte l'arrivée du ferry... qui pioche dans les malles son gargarisme d'état... mais crispé bientôt à l'hiver et aux salves de décembre, viendront l'esquive par l'esquif et le motif de l'évasion d''une extrême violence ; On a écrit sur le post-him la positions des craintifs. A la ruée des postures , des déhanchés ambidextres, quand la rue tremblera par achat....nous nous déferons de la garde et remorquerons la ville jusqu'à l'humanité...]

     


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  • Fog is a cloud that is in contact with the ground.


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  • [... C'est bleu-con ; Mais en vie . D'un porche dubitatif, d'une pluie zonée, d'un ciel inondable.

    J'voudrai joules solaires, me brancher dans les branches; Pullman pulmonaire pour l'amnistie du plexus (grand express).

    Le porche dubitatif , circonflexe sous la pluie zonale, sûr du ciel inondable. Attendre et voir que roulent les kakis, oranges on grey, par avalanche et la pluie.

    Thorax en arrachement, quand je pense en pression morte à ce que doit accomplir le corps pour l'idée. Quand jovial sur le quai d'un fleuve, en bombe parmi le oisif, j'énumérais des sud rangés dans les cordes, concrets dans les rifts, en bouffées.

    Veille acharnée , au vent et sous le vent, diurne et nocturne, maillée de veines et ces veines poursuivant l'armature jusque dedans le songe. Ainsi tenir debout . Un bougeoir de plein jour / cire « joui » dans le grand canal ... Tout joui d'un bic sur le post-him. ]

     

     

     

     

    [... Un bougeoir de plein jour – le matin le drap ferlé – une corbeille de fruits morts ; Quitte à c'que des amandes en douce t'emmènent voir comme l'île est loin... avec leur goût dans la bouche, le goût clos, la bouche close, mutine , mal happée par la ville et décisif retrait . C'est toi qui vaut la rumeur du marché, c'est toi qui monte en toi, c'est toi le levier de brumes aux Dardanelles, tu restes dans l'appartement avec ta façon de passe-passe, ton rhume et tes dentelles, captive et attentive aux quasars. Franche d'un maquillage exclu de l'orbite.; frangipane , tasse claire d'un thé jasmin, affranchie, et juste le timbre de ta voix pour faire le remous... Lorsque tu parles à tes bouquins ...]

     

     

     

    [... Tu parles à tes bouquins, quarante Watt de chevet «  à la une » de la nuit levée tôt ; La centrale rend à l'eau un sang bleu tiédi ...où le moindre ilôt de sable rejoue la scène d'un atoll et où l'herbe grippale fait frange au front d'un corail d'os....]

     

    Extrait de « inexprimables », journal de Querlas

     


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