J’ai amené un livre à la plage que deux chasseurs ont coupé, Mirages gris ; Sous leur sprint, j’ai tenté mon ralliement, sorte de collection de flirts, les intentions diffuses, l’étale. L’étale au cœur des gens, l’étale venue de l’enfance, une impression profonde d’avoir depuis longtemps quitté , je ne sais pas moi, cette appartenance au jeu , et rejoint des sensations qu’on doit éprouver quand quelqu’un qui a  disparu vous manque, cette tacite reconduction qui vous engage à nouveau… avant par la voix, maintenant par le sourire, maintenant par le silence.Qu'importe que vous aimiez maintenant grimpe un effroi que je ne redoute pas, un poids d’eau et de poussière en amont du barrage, on y sert des chocolats, l’air descend depuis les cimes et se charge d’un parfum de cannelle. Les sentiers de partout, mènent et font le tour de cette étendue d’eau où patiente un caractère . A la fenêtre ce qui est mis au jour est la mort, je me disais, unanimement variées les façons de sentir, cette unique richesse esseulée, disons la couleur, les pères qui sortent de leur foyer, qui sortent….s’en vont pour un maquis uniquement varié…bref. J'ai amené un livre à la plage dont le rythme me rend net... me rend tous ...; je ne connais plus son sujet, son sang  contre mon sang,  le dernier échange connu.