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Par querlas le 9 Décembre 2007 à 23:22
Quand j'penserai à ces amours; têtes de pioche aux culs de rêve, vers le soir, les visages sous les tuiles à piocher dans la télé de quoi avorter des voeux, à carrier des bombrecs: J'voudrai m'laver les yeux.
D'ici maint'nant c'est dimanche; toutes les voitures reviennent, les cow-boys, les sirènes, les gyrophares: Je vis dans un gouffre; j'voudrai m'laver la bouche.
Dis moi la source la plus proche, cette sorte d'évier ou fuir et approche... J'ai le corps à l'étoile, nuage de gaz et de stases. Quand tu entreras la tête dans mon cou, j'en épouserai l'effort.
C'est quoi vers le coin qui s'insinue ? La pluie en sang de pigeon.
On s'envolera aussi dans l'imaginaire; c'est c'qu'on fait déjà avec nos mains comme on s'étend.
Quand on pens'ra à notre amour
D'ici, maint'nant.
Vers le soir, des visages sous les tuiles, à piocher dans la télé de quoi avorter des voeux, à carrier des bombecs.
J'voudrai m'laver les yeux
J'voudrai m'laver la bouche.
6 commentaires -
Par querlas le 9 Décembre 2007 à 23:18
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