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  • [...Les ressources narratives rassies , la télé braille, l'encre sèche en bretzel , elle a jeté mes yeux.
    Je me casse à la plage fumer dans le mistral, le col devant la bouche. Je dévisse d'une cigarette sans fumer, d'un avion sans le son ; Qui grelotte du même choix... le même appel du dehors et il tomberait. Aération générale et sourcier d'appartement entre deux verres d'eau rinçante... perdu devant la mappemonde émaciant l'Arménie, la télé braille la chute des appartements....]


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  • Vivre de mes mains dans le braqué de cet espace , ordinairement full , du combat ; Poudre de soi qu'on alite dans le temps courbe , aviso, galerie, où tremblent les objets de l'issue faite, de clairon en clairon, les dessins, les encres, les écrits.
    Une oeuvre se fait qui te suit
    Il est possible que cette oeuvre soit la vie,
    rapide et vache
    fuyante mais régressive.
    Où par temps ripé se nouait l'indignité de n'arriver à rien, où passer devant une banque ou devant la scène tenait de l'impossible et du doute.
    Matais un match, une sucrerie , détaché.
    Détachés le match et les bombons aussi.
    Par cassures, par essais, par épines tristes ; Le progrès, tenir, et le capital, point.
    Des nerfs dans la gueule.
    Dans l'ordinaire full tout est remis en jeu, à la roue, le clan y compris.
    Collisions.
    Il reste l'abandon secours de poursuivre, l 'extinction bâtie de la présence , le juste.
    Et
    De vivre avec les lèvres péries , les mots on s'en fout , la porte s'est fermée et je ne devais plus jamais la voir.


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