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  • Le sang : d'la gouache ; Quitte à trinquer, sauf

    Le sang : d'la gouache ; Quitte à trinquer, sauf

    Le sang : d'la gouache ; Quitte à trinquer, sauf . Se donner à mort, car de toutes façons « se donner », de toutes façons... aussi qu'on aille faire levier ou sourde oreille, le temps manque. Le temps manque par pépite mais aussi le temps est manqué , la goulée du trouble , le contre-champ d'une solitude sur la ville alors que ; alors qu'oser ce n'est pas uniquement déminer la foule, c'est aussi vaquer avec le corps loin après les vergers ; comme le dernier mot partager pour entrer. Pour entrer dans le précis milité d'écoute sans faire grand cas du dérèglement au cœur et connaître ce qu'est la peur. Les mains sont là et je m'en sers pour manquer le repas et pour laver l'œil, gorgées d'années sans fatigue, incapables , elles, de couvrir, seulement les yeux aux moments sciés, aux pleurs de grands vertiges, il ne se trouvait qu'elles, épatantes, pour le secours. Mes actrices chauves de la dernière expression agitant le mouchoir au bateau trématé . Déconcertés une seule fois par ce qu'elles savaient pourtant du grand vide qui barraient non pas le cap, mais vers ce lieu de nous écorné par le manquement de vivre qu'est l'étrave. Seules précises alors que dos bleu et ronciers, le souffle pas retrouvé, en somme le type à sa lisière, de flashs incolores...seules précises sur la ligne de vie.


     


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