• note 25 en 0111 / de lecture

    […  Au bas de cette apnée, étant empreinte d’une histoire de la destruction…. Dans le bois fort et respiré…

    Même là… survient une vitesse paraphée du sillage des avions, une impatience globale. Ce n’est  plus un espace de danger mais le lieu d’une mort volontaire. Le temps rétrécit, ici c’est un taillis local, n’a plus la forme courbe de l’espace mais il a la pression des simultanéités.  Je m’attends à l’oiseau drone figeant des images de nature, aux odes trigonométriques d’un étonnement recensé. Suivre…suivre, en tous lieux le rythme c’est nu être fiché d’un compas, d’un altimètre des compassions et des désirs.  La peau du rebond et de la capture devient le lieu des inscriptions et des incrustations ...La danse une conquête de la juste dimension… le corps en mouvement n’est pas doté d’une motricité mais  il est le sujet de l’inertie du choc ; Choc de la compression du temps et de l’espace d’avec l’épreuve du temps et de l’espace. L’abandon…. l’abandon c’est de ne pas répondre collectivement par la pensée à la cabale du langage, c’est le mal qu’on se  fait quand même à ce tout épépiné trouvant des buts à l’étrave. Je ne laisserai pas les continuités se claquemurer par réflexe, j’attendris les muscles de l’espace….j’attendris les muscles de l’espace ; Qui n’ont jamais étés. …]



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