• train du 4 en 0210 (notes)

    Faire toute la lumière. Ruine mal maison filaire la fuite vers le manque , porter les craquements de l'été, bruisser. Quant à ce visage peu perturbable dans le reflet... c'est le mien . La tête haute et seule tenue par une tresse d'osselets et de muscles... contraints à se la fermer ; Les levures y ont poussé le tout à l'échappée, debrouille toi avec les ogives ... et clame, et écime , et libère.... dans le cadre civil... et reste avec les détours dans le plus court chemin. Un zest de viol, son idée, cohabite vaguement avec la joie...c'est détroussant ces proximités... les abris de jouvence , les ménageries, alors que défilent des vents tendres, les rhubarbes d'effraction. Pense à parler de la vie, sois bref, si tu le sens quand on apportera le vin sur la table....profite du silence fait pour taper un éclair gratis. Pense à dire le gant oublié, à dire du sens bien aimé qu'il est sens hâtif....pense à dire à heure dite qu'il faut écrire chaque jour, à dire le peuplé, la contagion... Quant à ce visage peu perturbable dans le reflet c'est le tien , en calle de rage , en plein enneigement sous le  paysage rapide .... qui s'y entend à rentrer le linge , le linge à la nuit.

    Les yeux dans le reflet si prècis que la semeuse porte une faux.

     


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