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  • Le klaxon attend que je me retourne et ne sait pas que la musique des pas vaut autant que l'urgence. L'auteur-violeur désire , gourmand, une verrière, oui, mais le soleil, non.
    Droit à travers le jardin public ceinturé de parcmètres , le corps sanglé à l'esprit voit la mer par le dessus sanglote
    Les limites du port attendrissent .
    Un acier de rage en sort.

    Sous le grain j't'aime le vent des ris pris de volée alors qu'assis sur le banc ; Tourmenté, goinfré  l'escabeau pour l'azur.
    De rendre compte des douleurs est rentable, j'vaquais l'âme d'un publiciste et du décorateur, ce travail journalier qui luxe à petit feu la république et emboutit le corps, en dissidence.....en dissidence sous le phare, à Sète le sémaphore fermera le paysage par un store ; Il en serait fini des signes anciens faits de l'Espiguette jusqu'à Menton, l'homme boréal à sa façon, comme il peut, afranchi de la maille sécable etc... le banc, la mer, la marge d'architecture et d'écriture, le banc, la mer, surtout.
    Aux tempes aura" sourdé "l'affût, la courbe au loin dit aussi une distance en minutes et secondes d'arc, le quart fait l'inertie d'un café brûlant  du carré, comme échappé de l'effraction etjoint à l'équation d'ici-haut.
    Les marins , seuls les marins, ont construit leur cage et ils forment l'espoir ton sur ton....vrac du matin 13 en 0110.


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  • Déguerpi de lois, les pages du pays se ferment par un zip, le terrain troue sa frontière et parie en désir sa rixe ....et l'eau frustre, pus loin, les plages qu'un bonheur sans grain pigmente .L'art de faible corps de partout en d'hâtives cimaises, seul le clou perfore en dehors du regard l'espace pas encore fouillé de l'émotion. Les expositions se succèdent dans la vie pauvre et les valeurs du noir ne respirent pas entre le vent sec des étoiles sans tout un artifice déambulatoire . Je te veux «langue de pute» dans la brève échéance puisque « nous sommes des chiens», pas compromise dans l'art vite fait, te veux modeste dans les fjords, anglaise assurée de son close. Je te veux «langue de pute» , je veux t'enlever de là et nous laisser vivre la quinte des rythmes forts de faire, d'écrire puis de lire... Je te veux «langue de pute» et passerons des mots au dialecte, du dialecte au morse sans fréquence , du morse à la ville inventive, enfin.


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  • Gabian vol cru , flash l'ajustant ,...à tous un lift sur le globe qui dévale une seconde. L'aube let indexée au sensible puis le flou , net. Les pensées me répugnent et les fictions sont intubées. A la fenêtre le corps semble une jarre de napalm et de sang, la compilation d'une « indétendance » , la réalité à l'étroit dans la pornographie d'une seule rive , ...le regard prédit là un pavillon, une allée de gravillons. Où se poserait le regard nous lirions le beige ...local et national...tag d'une blessure mensuelle d'où le corps semble une jarre...

    Extrait de «  neige nationale », Querlas

     


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  • A brouille piste dans les bois, spis et ronces, limite rut, dans cette succession de bas filés, d'uppercuts, d'neige à sang bu, de colère molle sans but . Et personne n'amène l'addition, ni sous le ciel, les épaules couvertes d'un châle , et jamais rien de prend forme où percole la charade, ...on l'allongea dans le rébus avec une peine , type alluviaire , qui la roulerait loin d'ici .

    Un jour de beige neige , de neige nationale, avec à tout pylône la posture des buses.. en image stéreo , celle aussi d'un pré lessivable, modulé, le pré moderne; le pré de la vie désaturée.

     


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